GRAND-MÈRE PERD LA TÊTE

Création 2023
Spectacle théâtre-objets-ombres
Tout public à partir de 7 ans
Durée : 45 minutes
Jauge : 100 spectateurs (140 si gradinage)
Adapté du roman «Ma grand-mère perd la tête» de Corinne Dreyfuss édité chez Thierry Magnier Editions

Distribution :
Mise en scène / Scénographie /interprétation : Nora Jonquet
Lumière / régie : Didier Glibert
Musiques originales : Nihil Bordures
Voix off : Emilie Broquin / Alain Daffos / Lou Broquin
Regard extérieur : Lou Broquin
Aide accessoires / décors / costumes :
Lou Broquin et Guillaume Herrmann
Crédits photos : Valentine Chapuis

Production : Compagnie Et Moi
Coproduction : Direction des Arts Vivants et Visuels de Haute-Garonne dans le cadre du dispositif exceptionnel d’aide à la résidence de création avec actions culturelles.

Soutiens / accueils en résidence / préachats : Théâtre Marcel Pagnol Villeneuve-Tolosane (31) / L’ARIACornebarrieu (31) / TMP Pibrac (31) / Espace Jacques Brel, Blanzy (71) / Espace Apollo, Mazamet (81) / Association Tohu-Bohu, Poucharramet (31) / MJC Roguet, Toulouse (31).

Aide à la création et à la diffusion : Département Haute-Garonne.

« Ma grand-mère perd la tête est un roman sensible qui aborde la relation forte entre une petite fille et sa grand-mère. La narratrice, une enfant, observe avec tendresse et bienveillance ces petites choses qui changent dans le comportement de sa grand-mère, assumant autant le comique de certaines situations loufoques que la crainte de perdre les êtres chers. » 

Dossier pédagogique à destination des enseignants sur l’étude du roman en français autour de la dramaturgie, du champ lexical, du langage propre et figuré…

Médiations culturelles associées autour de l’intergénérationnel et le lien grand-parents / petits-enfants.

« Une comédienne seule en scène va se replonger sous nos yeux dans son enfance. Fait d’une multitude d’objets, jouets, ballons gonflables, vêtements, accessoires vintages de son histoire auxquelles elle donnera vie, le décor évoluera au fil du récit pour devenir ce que la narratrice ressent et voit à travers son regard d’enfant : de la drôlerie derrière ce sujet fort traité avec beaucoup de malice, d’amour et d’humanité. »  Nora Jonquet